27 décembre 2005, 0h00
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Le Monde notait hier dans son éditorial que de nombreuses OPA en Europe proviennent non pas de groupe d’actionnaires, mais de fortunes familiales. « Le succès de l’OPA de Pernod-Ricard sur le britannique Allied Domecq est la manifestation la plus éclatante de la place prise par les entreprises familiales. C’est bien un groupe à capitaux en partie familiaux qui a dépensé une dizaine de milliards d’euros pour en racheter un autre, détenu, lui, par des fonds d’investissement. Et non l’inverse ! » L...
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