17 mai 2002, 0h00
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Michel Quint
Joëlle Losfeld, 15 CHF
Après l’immense succès de ses Effroyables jardins, traduits dans une quinzaine de langues et bientôt adaptés au cinéma par Jean Becker, Michel Quint nous en livre la suite, poétiquement intitulée Aimer à peine. Emprunté à un vers d’Apollinaire, ce titre nous invite à l’introspection et à la réflexion, sur le bien et le mal et les notions personnelles que l’on peut en avoir, sur le sens de l’existence aussi. Le grand talent de Michel Quint, c’est de savoir fa...
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