18 septembre 2003, 0h00
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Le fait qu’Ahold ait su diligemment limité les dégâts est le seul élément positif qui a suivi le scandale de gouvernance d’entreprise du distributeur néerlandais. Ayant à faire face à un boycott de la part de ses consommateurs contre sa chaîne de magasin vedette Albert Heijn, Ahold a réussi à cautériser plutôt habilement la plaie.
Henry de Ruiter, le président du conseil de surveillance, est véritablement à l’origine de sa propre perte. Sa façon d’agir vis-à-vis des avantages salariaux du nouv...
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