01 octobre 2003, 0h00
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S’il y a un type qui mérite qu’on lui tire son chapeau, c’est bien Oudaï Rachid. Ne me dites pas que vous ne le connaissez pas: c’est ce cinéaste irakien de 30 ans qui se lance dans le tournage du premier film de l’après-Saddam. Du courage, oui, parce qu’avant même d’avoir tourné le premier mètre de pellicule, il en a déjà choisi le titre: «Pas bon à projeter». C’est sans doute ce que lui répondront les grands distributeurs anglo-saxons quand il voudra leur fourguer son œuvre. Du courage aussi p...
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