30 novembre 2009, 0h00
Partager
La Suisse pourrait ne devoir finalement transmettre que peu de données aux Etats-Unis sur des clients d’UBS. L’amnistie fiscale américaine a peut-être permis de récolter assez d’informations, selon l’ambassadeur américain en Suisse, Donald Beyer. Parmi les dénonciations volontaires auprès du fisc américain, «je présume qu’une grande partie sont des clients d’UBS, mais je ne le sais pas. Il faut maintenant examiner ces 14.700 dossiers et les comparer avec les dispositions de l’accord UBS», a dit ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT