06 juillet 2000, 0h00
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«Si l’une est irresponsable, l’autre est superflue». Voilà comment Adolf Ogi exécute les deux dernières initiatives populaires du Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA). La première propose la suppression de l’armée, la seconde un «Service civil volontaire pour la paix». Le président, qui est aussi patron de la Défense, les rejette sans contre-projet. C’est au Parlement, puis au peuple et aux cantons, de trancher. Une précédente proposition pour la suppression de l’armée faisait, en 1989, 35,6...
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