29 octobre 2004, 0h00
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«Quel que soit le vainqueur de l’élection présidentielle américaine, le marché est prêt à l’accepter. Il n’y a pas une très grande différence entre les deux programmes et les déficits seront plus importants que ne le promettent les deux principaux candidats. Ce que le marché redoute en revanche, c’est que l’élection débouche sur un chaos général empêchant de connaître rapidement le nom de l’heureux élu.» Economiste indépendant à Genève, François Savary résume clairement le sentiment du marché à ...
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