16 décembre 2008, 0h00
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«J’encaisserais une jolie plus-value sans demander mon reste.» Graziano Seghezzi, partenaire du venture capital Sofinnova Partners, à Paris, se met à la place des petites sociétés pharmaceutiques convoitées par les géants du secteur. «Ces groupes sont prêts à concéder une prime que le marché ne paiera pas d’ici deux, trois ou même quatre ans.» Les dirigeants d’Actelion et de Basilea ne l’entendent toutefois pas de cette oreille. Les deux sociétés se sont déclarées financièrement aptes à voler de...
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