22 mars 2010, 0h00
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L’obtention d’une licence bancaire de la Finma semble être plus qu’une simple formalité. Elle a obligé au contraire les courtiers en devises de procéder à des restructurations profondes. La nouvelle réglementation introduite en mars 2008 ne leur a pas laissé le choix. La seule alternative aurait été de déplacer les activités à l’étranger. Le courtier genevois ACM, qui dispose de plusieurs filiales à l’étranger, a très vite tranché entre les deux options: «Déjà avant l’entrée en vigueur de la nou...
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