04 juillet 2001, 0h00
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Le Gouvernement valaisan n’est toujours pas convaincu par la politique fédérale du loup, animal protégé. Il craint surtout de faire les frais d’une politique d’accueil trop protégée. Néanmoins, il collabore activement aux mesures de prévention initiées sur le terrain. Et il accepte l’invitation au dialogue lancée par la Confédération sous la forme d’une procédure de consultation ouverte jusqu’à la fin de l’été.
Dans ce cadre, il cherchera à former un front uni avec le Tessin et les Grisons, les ...
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