27 juin 2011, 0h00
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La forte reprise des derniers mois s'est enrayée. A cause de la flambée des matières premières, à cause de la catastrophe naturelle au Japon, à cause des politiques de resserrement dans les pays à forte croissance et, aussi, à cause du réajustement des inventaires dans les pays développés. Les explications sont nombreuses, et toutes recevables, mais sommes-nous face à un «coup de mou»; ou aux premiers signes d'une nouvelle crise. Le débat lancé par Sebastian Paris Horvitz, directeur de la straté...
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