28 novembre 2007, 0h00
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Citigroup va renflouer ses caisses en vendant une part de son capital à Abou Dhabi pour 7,5 milliards de dollars, mais ce sauvetage précipité jette le doute sur la solidité de la première banque américaine par la taille de bilan.
D’un côté, les marchés étaient soulagés par l’apport de l’émirat, qui tombe à pic pour une banque affaiblie par la crise des crédits hypothécaires à risque («subprime»). De l’autre, ils s’inquiétaient que Citigroup ait dû appeler l’émirat à l’aide, et ce au prix fort, ...
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