31 juillet 2007, 0h00
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Dans une OPA, il est difficile pour le management d’une société cotée de soutenir la proposition la moins intéressante pour ses actionnaires. Les dirigeants d’ABN Amro en ont pris acte. Depuis hier, ils ne recommandent plus officiellement l’offre de rachat de Barclays, inférieure de 9%, à 66 milliards d’euros dont 37% payés en numéraire, à celle du consortium emmené par Royal Bank of Scotland (RBS). Celui-ci propose de racheter ABN Amro pour 71,1 milliards d’euros, dont 93% en numéraire.
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