10 mai 2001, 0h00
Partager
ABN Amro découvre combien il est difficile de se restructurer pendant un ralentissement. L’année dernière, son nouveau directeur général Rijkman Groenink lui a fixé des objectifs financiers très ambitieux. Le boom économique mené par les technologies battait son plein et tout semblait possible. Depuis, la correction des marchés a frappé la banque néerlandaise à tous les niveaux. Au premier trimestre, ses bénéfices ont plongé de 12% et le rêve de 17% de croissance annuelle du résultat que nourris...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT