14 juillet 2009, 0h00
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En toute logique, ABB n’a pas signé hier un premier accord avec une dizaine d’autres sociétés d’Europe et du pourtour méditerranéen pour véritablement lancer le projet Desertec sans que le groupe helvético-suédois de génie électrique ne s’attende à des retombées positives. «Nous estimons qu’entre 75 et 100 connections sous-marines seront nécessaires pour transporter la puissance de près de 100 gigawatts qui sera produite par des centrales photovoltaïques situées dans les déserts d’Afrique du Nor...
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