29 juin 2004, 0h00
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On apprend de drôles de choses en feuilletant la presse familiale. Ainsi, dans les pages d’offres d’emploi de «24 heures», on lisait l’autre jour qu’il y avait une forte demande en Suisse romande pour des «soirées fuckerware». On croit avoir mal lu, on se suspecte d’obsession sexuelle, on incrimine un typographe facétieux, puis on regarde l’image qui illustre l’annonce: c’est une dame avec plein d’objets qui rappellent des courgettes, des concombres, des bananes. L’éventaire d’une marchande des ...
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