26 juin 2008, 0h00
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«Nous sommes à la fin d’une époque, mais encore loin de l’Apocalypse.» C’est sur un ton quasi messianique que Roger Keller, stratège chez BNP Paribas, a tenu, hier à Genève, sa conférence semestrielle sur les perspectives économiques 2008. L’économiste s’est attaché à démontrer que les conditions n’étaient pas réunies pour une catastrophe financière et économique majeure. Et ce, même si le moteur de la première économie du monde – la consommation des ménages qui représente près de 70% de son pro...
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