11 février 2010, 0h00
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Alors que la «crise» de la dette s’étend à d’autres pays européens périphériques, il convient de revenir sur les gains supposés ou réels de la monnaie unique.
En fait, les gains de l’euro se sont pour l’essentiel limités à compléter et consolider le marché unique. L’euro a baissé les coûts de conversion et de transaction intra européens; il a ainsi contribué à renforcer les échanges intra-zone (tout en détournant toutefois des flux d’échanges des zones les plus dynamiques comme l’Asie). L’eur...
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