31 mai 2001, 0h00
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Trois mille suppressions d’emplois, dont six cents à Bâle: La restructuration est massive et douloureuse. Mais quand l’innovation d’un groupe pharmaceutique s’assèche, quand elle n’arrive plus à vendre assez de médicaments, elle doit adapter ses effectifs. La responsabilité n’incombe ni aux analystes, qui tentent d’apprécier les perspectives, ni aux investisseurs qui confient leur risques, ni même au management actuel. Car, dans un groupe pharmaceutique, la sécheresse d’un pipeline de médicament...
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