06 mars 2001, 0h00
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Pour Jacques Neirynck, seuls des coups de boutoir extérieurs pourraient relancer l’adhésion. Il faudrait, par exemple, que l’Union européenne ose exercer sur le secret bancaire suisse les pressions que les Etats-Unis n’ont pas hésité à manifester. En menaçant au besoin les banques suisses de ne plus pouvoir travailler dans l’Union européenne. Le démocrate-chrétien vaudois ne le souhaite pas, mais il ne voit guère d’autre issue. Sinon, les Suisses n’auront aucune raison suffisante d’adhérer.
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