27 janvier 2006, 0h00
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La mise en bourse le mois prochain du laboratoire de recherche du ministère de la Défense britannique, Qinetiq, suscite des grincements de dents sur les profits potentiels pour l’actionnaire privé, le fonds Carlyle, et les dirigeants. Un ancien secrétaire d’Etat à la Défense de Tony Blair, John Gilbert, a ainsi qualifié ces bénéfices de «scandale» jeudi dans le Financial Times.
Quinetiq, dont le président John Chisholm est régulièrement comparé à «Q», l’inventeur génial des James Bond, est issu...
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