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A l’occasion de sa visite de quatre jours, Pascal Couchepin a essayé de réchauffer le climat des affaires avec la Russie

Il a déploré que la Suisse, qui est le huitième investisseur du monde, n’ait consacré que 0,4% de ses investissements directs à la Russie.

Guy Mettan
Chroniqueur, journaliste indépendant
03 avril 2001, 0h00
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Belles mais sèches et froides pour la saison: les relations économiques entre la Suisse et la Russie étaient à l’image du climat de Moscou ce dernier week-end. Pascal Couchepin rentre en effet aujourd’hui d’une visite de quatre jours en Russie où il a conduit une forte délégation de représentants de l’économie suisse et tenté de dégeler les investisseurs suisses. Après la débâcle de l’été 1998 et la multiplication des affaires d’argent sale entre la Suisse et la Russie, les Suisses ont fui la Ru...
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