17 novembre 2006, 0h00
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Un exercice périlleux pour le Pays du Matin calme. Coincé entre la haute-technologie nipponne et la main d’œuvre bon marché chinoise, la Corée du Sud doit constamment innover pour s’imposer sur l’échiquier mondial. Une situation des plus délicates pour une économie soutenue à 40% par ses exportations et dont les zones de libre-échanges peinent à se concrétiser.
D’où l’importance de la réunion de l’APEC pour l’administration du président Roh Moo-hyun. En effet, ce week-end, 21 chefs d’Etat sont...
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