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A. Greenspan pointe un doigt accusateur vers Wall Street

La vigueur de la demande privée est largement attribuable aux gains en bourse que seule la hausse des taux pourra contenir.

18 janvier 2000, 0h00
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Riche en information, la semaine écoulée a vu les marchés obligataires poursuivre leur déclin. Très attendu, Alan Greenspan a clarifié sa position par rapport à la «nouvelle économie» dans un discours qui confirme que les taux d’intérêt seront prochainement relevés afin de refroidir une demande privée stimulée à l’excès par les gains en bourse. Les marchés obligataires ont d’autant moins apprécié que Wall Street n’a absolument pas été affecté... Une fois n’est pas coutume, le dernier discours d’...
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