13 août 2001, 0h00
Partager
A moins de cinq mois de l’introduction de l’euro, l’indifférence règne au Tessin. Il en va de même sur le versant italien de la frontière. Et c’est ce qui inquiète les autorités lombardes qui redoutent le chaos.
Avant son départ en vacances, Marco Citterio avait pourtant tiré la sonnette d’alarme. «La majeure partie des entrepreneurs et commerçants n’ont toujours pas procédé à la conversion obligatoire de leur capital en euros», a déploré le président de la Chambre de commerce de Côme lors d’une...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT