06 septembre 2004, 0h00
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On connaît la formule du philosophe genevois: l’homme est né et bon et c’est la société qui l’a corrompu. Sur cette base, on a cru pouvoir éliminer tout ce qui pousse l’homme à tuer ou blesser ses proches, qu’il s’agisse de la faim, d’un manque d’indépendance nationale, d’une absence d’éducation. Comme pour faire disparaître définitivement le mal sur cette terre, on a voté des résolutions à l’ONU, organisé des collectes pour des organisations humanitaires, fait des investissements dans tel ou te...
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