A bas les affreux mâles et vive le libertinage!

Décidément, les hommes n’ont plus la pêche. Dans la grande chasse universelle aux maux qui nous rendent la vie impossible sur cette planète, ils sont de plus en plus considérés comme les premiers responsables. Les hommes, donc, et pas seulement les être humains, comme on pourrait le croire à trop écouter les intégristes écolos pour qui notre planète se porterait beaucoup mieux sans l’espèce humaine. Mais là, ça va un peu trop loin. Le public n’avale plus cette thèse. Tandis que taper sur les mâl...