29 mars 2001, 0h00
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Après SYNN, c’est au tour de ZURN de subir les dégagements massifs des investisseurs déçus par une direction qui a accumulé les erreurs depuis plusieurs mois. Le management a fini par y ajouter la cerise sur le gâteau, l’opacité. Il n’en fallait pas plus pour décourager beaucoup d’investisseurs anglo-saxons et les convaincre qu’il y avait mieux à faire ailleurs. Dans une industrie à la recherche de croissance, le haut management de ZURN prend de grands risques en restant valorisé à moins de 10 f...
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