02 février 2004, 0h00
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Les obligations convertibles «pures» (et non les reverse convertibles, instruments purement structurés, n’ayant de convertible que le nom) sont dans toutes les bouches, aidées par de nombreux articles de presse, spécialisée ou non. Ceci est certainement justifié par l’énorme vague de nouvelles émissions en obligations convertibles qui a touché les marchés mondiaux (55 milliards d’euros en Europe seulement!), et même notre marché local avec, entre autres, des émetteurs tels qu’ABB, Serono et même...
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