09 mai 2000, 0h00
Partager
La digestion des dernières statistiques américaines s’avère difficile. Fragilisé par l’absence de rachat de dette publique, privé du soutien d’un marché des actions en baisse, le marché obligataire a poursuivi la correction entamée la semaine précédente.
Le modeste ralentissement de la croissance américaine au premier trimestre n’avait pas pesé lourd face à l’accélération de l’inflation reflétée par le déflateur. Pire, ce fléchissement se traduit par une décélération des gains en productivité (2...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT