20 avril 2006, 0h00
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S’il y a une chose que l’on ne reprochera pas à Hans-Rudolf Merz, c’est d’éluder le débat. Le ministre des Finances veut certes un Etat fort, mais svelte: il pose le problème du poids de l’Etat dans ses dimensions décisives, celles de la liberté du citoyen et de la croissance de l’économie (lire en page 4). Or les perspectives n’incitent guère à l’optimisme. En 50 ans, le coût fiscal réel de l’Etat a doublé, pendant que le potentiel de croissance de l’économie, lui, diminuait de moitié. Le contr...
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