L’action de la semaine: ServiceNow

Cette semaine, nous nous intéressons au titre de ServiceNow, une société américaine basée sur le cloud qui fournit aux entreprises des solutions automatisées de gestion des flux de travail. Son portefeuille de produits est particulièrement axé sur les technologies de l'information, les flux de travail des employés et des clients. En réduisant les processus non structurés de ses clients, ServiceNow les aide à réduire leurs dépenses et à développer leurs activités plus efficacement. La société a été fondée par Frederic B. Luddy en juin 2004 et son siège social se trouve à Santa Clara, en Californie. 

La société offre des opportunités d'investissement de croissance aussi bien dans une économie plus forte que dans les ralentissements macroéconomiques du secteur technologique. En effet, non seulement ServiceNow compte parmi ses clients 85% des entreprises du classement Fortune 500, mais ses solutions sont également attractives durant les périodes difficiles qui obligent à une réduction des coûts d’entreprises. Gardons ainsi à l’esprit que ServiceNow pourrait potentiellement répliquer l'ascension d'AWS d'Amazon, d'Azure de Microsoft ou de Google Cloud d'Alphabet. 

Le sentiment des médias sociaux financiers de la société est actuellement «positif» en termes absolus et relatifs, seul et par rapport au sentiment des médias sociaux du secteur et de l'indice boursier. Le buzz d'attention est actuellement «moyen». 

Le consensus des analystes est d'«acheter» le titre – sur les 38 analystes bancaires couvrant la société, 34 recommandent d'acheter le titre, 3 recommandent de le conserver et un suggère de le vendre. Le potentiel de hausse médian du cours de l'action prévu par ces analystes au cours des six à douze prochains mois est actuellement de 24,88% (référence à la clôture du 13/03/2023). 

Pour faire appel à l’intelligence collective, UMushroom se base sur trois clés de lecture en plus des informations financières habituelles pour évaluer une action: l’avis des analystes bancaires, le point de vue de la presse professionnelle et celui des autres investisseurs.