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L'accrochage autour du gaz russe touche indirectement la Suisse
Il n’y a guère de solution rapide en Europe pour remplacer l’énergie russe et éviter le paiement en roubles demandé par Poutine. Mais la Russie risque d’être perdante à plus long terme, estime René Bautz, de Gaznat.
Les «pays hostiles» n’ont qu’une semaine pour prendre leurs dispositions afin de payer le gaz russe en roubles, a réagi Vladimir Poutine mercredi soir au gel des actifs de la Russie en Occident faisant partie des sanctions décrétées suite à la guerre en Ukraine. Un grand nombre d’États européens, l’Allemagne en tête, pour laquelle la Russie représente 55% des achats de gaz, ont dénoncé des ruptures de contrats. La Pologne, la Slovénie et l’Italie ont également fustigé cette exigence jeudi.&nb...
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